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2018 est une année forte en émotions, chez Biocoop. Après le lancement de sa nouvelle identité ‘La bio nous rassemble’, en septembre dernier, la coopérative fait à nouveau entendre sa voix, à travers un film-manifeste. Une réalisation visible, du 22 octobre au 4 novembre qui se veut sincère, « sans filtre », et pleine d’humanité, à l’image de l’enseigne.

Pas le temps ou tout simplement, pas envie de cuisiner ? Bonne nouvelle, Biocoop étoffe sa gamme de produits veggie « prêts-à-consommer » ! L’occasion de tester de nouvelles saveurs et/ ou de s’initier au flexitarime.

Au carrefour de trois départements et de deux régions, ce petit pays a une identité forte marquée à la fois par la tradition, agricole et musicale notamment – il y a même des paysans-chanteurs –, et par l’alternatif, l’associatif, le militantisme. La bio, diffusée surtout en circuit court, y trouve naturellement sa place mais se confronte à des pratiques anciennes bien ancrées.

Il est le fondateur de Slow Food, vaste organisation internationale ancrée dans les territoires, qui milite pour une alimentation bonne, propre et juste pour tous. Nous l’avons rencontré lors d’une conférence, impatient d’un changement de société, à la table d’un bistrot parisien, vantant petits paysans et produits du terroir français que Slow Food a contribué à sauvegarder.

Nous voulons des coquelicots. C’est le nom de la campagne menée tambour battant par le journaliste Fabrice Nicolino et le porte-parole de l’association Générations Futures, François Veillerette. Leur demande : faire interdire, en France, l’usage des pesticides de synthèse. Pour se faire entendre, ils ont lancé L’Appel des coquelicots. Un appel soutenu par Biocoop.

Pour marquer son ouverture sur le monde, sans rien perdre de ses valeurs, ni de ses engagements, Biocoop s’allie à Bioburger. Une enseigne de restauration rapide 100 % bio qui entend, au même titre que la coopérative, promouvoir et défendre l’agriculture biologique.